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« Monsieur, ce sont des idées bien rétrogrades que vous exposez là. Bientôt les femmes seront médecins, ingénieures, avocates… Aucune nation moderne ne peut se priver de l’intelligence de la moitié de sa population. »
Elle s’appelait Suzanne Noël.
Médecin, féministe, elle redonnait un visage aux gueules cassées.
Leïla Slimani et Clément Oubrerie rendent un vibrant hommage à une femme exceptionnelle.
au editions http://www.arenes.fr/livre/a-mains-nues-tome-1/
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Du discours complotiste à celui des publicitaires en passant par ceux des politiciens, des scénaristes de séries télé, des pseudo-scientifiques ou des extrémistes de tout poil, ce livre nous invite à décrypter toutes les formes de rhétorique susceptibles de nous influencer à notre insu. Depuis sa sortie, il s'est imposé comme une référence auprès des jeunes lecteurs, mais aussi des parents ou des enseignants désireux de combattre efficacement langue de bois, intox, amalgames, fausses rumeurs et autres psychoses. « Excellent. Un tour de force. Sophie Mazet nous entraîne, avec grâce et légèreté, à penser les sujets les plus complexes. » Olivier Postel-Vinay (directeur du magazine Books), Libération. « Un humour décapant ! » Nathalie Perrier, Le Parisien.
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Bonne fête à toutes les mamans du monde.
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Il y a urgence, svp signez la pétiton :
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Des livres pour vos enfants
Marie Lescroart fait partie de notre association et est nouvellement élue au conseil municipal.
Marie Lescroart, devenue journaliste
scientifique après des études d’écologie marine, prête aujourd’hui sa plume à des magazines grand public (Terre Sauvage, Ca m’intéresse, Okapi…) et à des publications institutionnelles, notamment
pour l’Agence française pour la biodiversité. Elle est aussi auteure de livres de vulgarisation sur les cétacés et sur le littoral.
Vous avez un auteur(trice) à portée de main , non pardon , de voix , profitez en !
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Coronavirus : comment parler de la pandémie de Covid-19 avec un enfant ?
Le mot "coronavirus" est désormais au centre de toutes les conversations. Enfants,adolescents et parents, tout le monde en parle. Mais comment en discuter sansinquiéter ? Des spécialistes de l'enfance donnentquelques conseils.
voici quelques conseils, qui j'espère pourront éclairer certains parents en ce moment si particulier!
Le confinement est une période exceptionnelle et difficile pour tout un chacun.
Les discours tenus par les médias ne s’adressent qu’aux adultes. Les adultes en parlent entre eux. Les enfants entendent des choses, parfois très anxiogènes, et ne savent pas quoi en faire. Selon leur âge, ils ne sont pas tous en capacité d’accueillir les informations, les comprendre, les supporter. Les enfants ont une très grande capacité d’imagination et ils s’en servent parfois pour tenter de comprendre les bribes d’informations qu’ils ont entendues. Le problème est qu’ils peuvent s’imaginer le pire…
Que dire à nos enfants et à nos adolescents ?
Chez les jeunes enfants, la capacité de compréhension est encore limitée pour un événement tel que celui-ci ; il faut donc trouver des mots très simples pour expliquer une situation si complexe ! « il y a des gens qui sont malades, comme un très gros rhume, et on est obligé de rester à la maison pour éviter d’être malade et de le donner aux autres. Tu te souviens, l’autre jour quand tu ne te sentais pas bien et qu’on est allés chez le médecin ? Tu as du rester à la maison pour ne pas donner tes microbes aux autres. Là, on reste tous dans nos maisons au cas où quelqu’un serait malade, on ne veut pas attraper ses microbes. »
Les parents peuvent rendre leur discours validé et légitimé par une instance supérieure : par exemple leur expliquer que le président a interdit à tous les adultes et à tous les enfants de sortir, que c’est lui qui a fait fermer les écoles, le bureau de papa, de maman… Comme l’enfant très jeune est en plein apprentissage de la frustration, ce confinement est une occasion de le mettre en pratique ! mais il faut avoir les mots qui accompagnent cela. C’est important de pouvoir leur dire que nous aussi adultes nous sommes obligés de vivre cela, que ce n’est pas toujours facile, qu’on n’a pas le choix, qu’on aimerait aller manger au restaurant ou aller à la piscine mais qu’on doit nous aussi patienter… nous sommes leur modèle et ils doivent voir comment nous-mêmes gérons notre propre frustration.
Lorsque le jeune enfant a du mal à entendre cela, qu’il fait une crise, si les mots pour le calmer ou le rassurer ne suffisent pas, on peut faire en sorte de détourner son attention. L’enfant très jeune a une grande capacité à basculer son attention d’une tache à une autre : on peut lui proposer quelque chose de ludique qu’il aime particulièrement. S’il refuse et continue de s’énerver, on peut le laisser quelques instants et faire en sorte qu’il nous voit sortir une activité très attrayante qui lui donnera envie et lui fera oublier sa colère.
Chez les enfants plus grands, les capacités de compréhension et de réflexion sur le sujet ne sont pas les mêmes selon que l’enfant ait 6 ou 11 ans. Les mots doivent être adaptés, mais l’important est qu’on leur communique quelque chose de la réalité : « il y a un virus, si tout le monde continue de sortir, on risque tous de l’attraper et de le transmettre aux autres, et ça peut être grave pour les personnes âgées », par exemple. Il est difficile de trouver le juste milieu entre information et vérité anxiogène. Dans tous les cas, selon l’âge et la sensibilité de l’enfant, les informations à la télé sont à éviter, car elles jouent sur la dramatisation de certains faits pour tenir les téléspectateurs en haleine et sont de ce fait très anxiogènes.
Comme avec les jeunes enfants, les enfants jusqu’à l’adolescence tendent à placer leurs parents dans la toute-puissance : le confinement peut leur permettre d’être plus dans la réalité : nous les parents nous ne savons pas non plus combien de temps cela va durer, si nous allons partir à tel endroit tel week-end comme prévu… nous aussi nous avons des moments de doute et ce n’est pas toujours facile pour nous. Mais nous avons en tant qu’adultes une capacité à dépasser cela et à tirer le meilleur de cette situation: on profite d’être en famille, d’avoir plus de repas tous ensemble, d’avoir du temps pour cuisiner, jardiner, bricoler, écouter de la musique, faire du sport, lire… Cet aspect positif doit être exprimé aux enfants : tout n’est pas que frustration, angoisse et enfermement, c’est aussi un moment pour faire ce que l’on ne fait pas habituellement et s’épanouir dans autre chose.
Chez les adolescents, il est plus facile d’adopter un discours proche de la réalité : la réalité du virus qui ne doit pas être négligée, le rôle du confinement pour ne pas le propager…
Il est aussi important de parler avec les adolescents de leur avenir : car le confinement peut remettre en cause toute une image qu’ils s’étaient construite du futur. Est-ce qu’ils déchantent concernant l’avenir de leur monde ? est-ce que cela a modifié ce qu’ils comptaient faire plus tard ? Il faut, avec eux aussi, pouvoir sortir de l’aspect anxiogène du confinement et voir ce que cela va permettre sur les moyens et longs termes. Par exemple, certains se découvrent une très grande capacité de travail à la maison et cela booste leur confiance en eux. D’autres profitent de ce temps, plus lent, pour réfléchir sur eux-mêmes, leur famille, leurs amis, leurs envies pour plus tard ; ils ont pu aussi, dans ce temps qu’il faut occuper autrement, trouver de nouvelles passions, des activités… les adolescents peuvent avoir du mal à supporter cette exclusivité avec la famille alors même qu’ils sont dans un besoin d’autonomie : communiquer sur le confinement avec eux peut être un moyen de maintenir un lien avec eux, de garder une certaine proximité grâce à un échange d'idées, tout en le laissant par ailleurs s'isoler comme tout ado.
Bon courage à tous !
Bien à vous,
Lorène Mariani, Psychologue clinicienne
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ET PLUS ICI: https://www.facebook.com/watch/?v=190496172193817
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Corine Delouvrier expose ses sculptures et peintures à Maintenon
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Et les vainqueurs sont :
Palme d'Or; le film de Frank Capra avec "M. Smith au Sénat" qui emporte la palme, 80 ans après la sortie du film.
Les prix de l'interprétation masculine reviennent à James Stewart, là encore dans M. Smith au Sénat et à Harry Baur pour L'homme du Niger. Le prix d'interprétation féminine, lui aussi dédoublé, revient à Irène Dunne et Marina Ladynia. Devenu culte depuis, Le Magicien d'Oz de Victor Fleming repart avec le prix de l'innovation, tandis que le film de propagande soviétique Alexandre Nevski, hors compétition, a obtenu le prix spécial du jury.
plus d'infos ICI
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Autourd’Elles, vous nous connaissez certainement. Vous savez, la bande de femmes qui propose au fil des ans des rencontres; lecture, cinéma, atelier modèle vivant, scrabble, gym corefit, fêtes musicales, marche, sorties culturelles, café poussette, ateliers divers de découvertes découvrantes sans tutos et on en passe …
Toujours gourmandes de nouvelles énergies, prêtes à répondre et gouter à vos envies, épauler vos projets les plus fous; ceux qui s’adressent aux femmes, aux enfants, aux délices, à la curiosité.
Vous êtes soupçonnées d’avoir une réserve d’idées surprenantes à nous soumettre. Nous serons au forum des associations des mesnuls le 7 septembre de 14h à 17h et vous y attendons de pied ‘’femme ‘’pour en parler !
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Sucrés, salés, gourmands. Pour échanger, se connaitre.
Dans la convivialité et détendues comme au resto, nous ouvrons la saison des diners entre femmes mardi 21 janvier 2020.
Les bouts de choux et les chéris choux se garderons bien sans vous! Au programme de cette soirée, une variation sur les choux sur laquelle vous saurez bien improviser pour chouchouter nos palais.....
Pour plus d'infos contactez nous à autourdelles@gmail.com
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Découvrez le porte folio de ce grand du street art !
partout dans le monde .
https://www.juliendecasabianca.com/street-art--photography
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La drogue est la continuation de la politique par d’autres moyens : telle est sans doute l’une des leçons les
plus méconnues du IIIe Reich… Découverte au milieu des années 1930 et commercialisée sous le nom de pervitine, la méthamphétamine s’est bientôt imposée à toute la société allemande. Des étudiants
aux ouvriers, des intellectuels aux dirigeants politiques et aux femmes au foyer, les petites pilules ont rapidement fait partie du quotidien, pour le plus grand bénéfice du régime : tout allait
plus vite, on travaillait mieux, l’enthousiasme était de retour, un nouvel élan s’emparait de l’Allemagne.
Quand la guerre a éclaté, trente-cinq millions de doses de pervitine ont été commandées pour la Wehrmacht : le
Blitzkrieg fut littéralement une guerre du « speed ». Mais, si la drogue peut expliquer les premières victoires allemandes, elle a aussi accompagné les désastres militaires. La témérité de
Rommel, l’aveuglement d’un Göring morphinomane et surtout l’entêtement de l’état-major sur le front de l’Est ont des causes moins idéologiques que chimiques.
Se fondant sur des documents inédits, Norman Ohler explore cette intoxication aux conséquences mondiales. Il
met notamment en lumière la relation de dépendance réciproque qui a lié le Dr Morell à son fameux « Patient A », Adolf Hitler, qu’il a artificiellement maintenu dans ses rêves de grandeur par des
injections quotidiennes de stéroïdes, d’opiacés et de cocaïne. Mais, au-delà de cette histoire, c’est toute celle du IIIe Reich que Ohler invite à relire à la lumière de ses découvertes.
Séquence de 3mn sur FI ici ;https://www.franceinter.fr/emissions/capture-d-ecrans/capture-d-ecrans-15-janvier-2018
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En 2018, le Zoo safari de Thoiry a mis en place une unité de méthanisation afin de récupérer le fumier et les déchets organiques locaux. Ces matières , en se décomposant donnent du gaz, servent à produire du biogaz. Ce reportage d’Actu-Environnement montre comment le zoo parvient grâce à cet investissement à générer de la chaleur et de l’électricité pour 2000 foyer.
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Ceviche de banane écouté sur Fr inter.
Ingrédients pour 4 personnes:
· 4 bananes de Martinique et Guadeloupe
· 1 gousse d’ail haché
· 1 oignon rouge Roscoff
· 1 jus de lime et les zestes
· 3 cl d’huile olive
· 5 feuilles de menthe
· 1 brin de coriandre fraîche
· 2 fruits de la passion
· 2 jus d’oranges et zestes
· 5 g de gingembre
· Sel
· Quelques gouttes de Tabasco
· 1 pointe de couteau de curcuma
Progression :
Epluchez et coupez les bananes en rondelles.
Hachez l’oignon rouge, le gingembre et l’ail. Dans un bol mélangez-les avec l'huile d’olive, le jus et zestes d'orange, le curcuma, le jus et zeste de lime et les fruits de la passion.
Incorporez les bananes, la menthe et la coriandre hachée.
Assaisonnez de sel et de tabasco et mélangez délicatement.
Vous pouvez servir ce mélange accompagné de crevettes roses, de coquillages ou de poulpe cuit nature.
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Un projet archi qui fait mal à Chartres.
Une pétition en ligne pour signifier votre interrogation et vos doutes. Ici
+Un article dans le journal l’écho républicain ici
et parceque vous êtes curieuses(x) vous irez voir !
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Belle façon de savoir rester jeune.
Du haut de ces 90 ans, Agnes Varda nous donnait regulièrement des leçons d'impertinance sociale, cultivant sa curiosité, rayonnante toujours, lumineuse et joyeuse elle a vielli avec beaucoup de vitalité et partagé sa sensibilité.
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La suite de nos publications et infos c'est ici